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Vivre ou Survivre ?

21 janvier 2012

Je suis là, encore, malgré les tourments,

Je suis là, encore, malgré les tourments,

L’aurore a laissé sa place aux ténèbres,

Par-dessus tout il y a une guerre en moi,

Des combats tous versé par le sang.

 

Ne rien compliqué, juste calmé les luttes,

Accomplir des batailles, ne pas sombrer,

Se battre ? Pour retrouver une paix gagnée,

Tout juste armé de poing dans une tumulte.

 

Le prix d’une telle victoire avec violence,

Alors que tant de mort crie à la paix,

A-t-elle une quelconque valeur de règne,

La solution viendra-t-elle sans alliance ?

 

Ne pas répondre au coup juste par dépit,

Répliquer seulement par des mots sacrés,

Etre digne de voir en soi l’humanité,

Pour toute action heureuse faite sans répit.

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21 janvier 2012

Tu m’es apparu pareil à l’ultime espoir, La

Tu m’es apparu pareil à l’ultime espoir,

La puissance armée d’une nouvelle aube claire est née,

L’éclair a irradié mon âme à jamais noire,

Et la nuit n’aurait pas du avoir existé.

 

Tu t’es lentement penché sur mon propre destin,

Tes yeux ont pu se délectés sur mes passions,

Nos corps emmêlés à jamais pour ce festin,

Et la vie sera toujours faite de notre tension.

 

Crois-tu à la liberté du pouvoir de l’amour ?

Espères-tu l’élue qui chassera toutes tes peurs ?

Pourrais-tu voir la solitude de tous ces jours ?

Car je sais bien que toi seule feras mon bonheur.

 

Tu as fais fuir toutes les futilités du temps,

Au fin fond de la douleur éperdue des sens,

Ton seul espoir a inondé toutes les attentes,

Et le désert a perdu son goût existant.

 

J’ai fermé les yeux pour te voir,

J’ai tendu les bras pour t’avoir,

J’ai prié les dieux pour être aimé,

Et j’ai crié au diable pour me calmer.

21 janvier 2012

Autant de choses que l’on perd un peu, Autant de

Autant de choses que l’on perd un peu,

Autant de corps qui se lasse d’un rien,

Autant de haine qui anime un feu,

Autant d’antan que l’on attend bien.

 

Le prix des cœurs blâmés pour s’aimer,

Le prix des âmes pures pour des croyances,

Le prix des chaînes qui casse nos fiertés,

Le prix du masque des dettes qui dansent.

 

Plus de place pour une quelconque idée,

Il n’y a plus de place pour penser,

Plus de trace pour devoir respirer,

Il n’y a plus de trace pour hurler.

Plus de place pour enfin se connaître,

Il n’y a plus de place pour renaître,

Plus de trace pour une fois apparaître,

Il n’y a plus de trace pour tout être.

 

Plus de mot fou qui ne veut rien dire,

Plus de sang qui ne libère personne,

Plus de combat qui ne font plus rire,

Plus de cris étouffé qui résonne.

 

Malgré toute la paix qui ne s’enchaîne,

Malgré tout l’honneur d’une autre victoire,

Malgré tout l’espoir de toutes les peines,

Malgré tout les rêves pour une autre gloire.

 

Plus de place pour une quelconque idée,

Il n’y a plus de place pour penser,

Plus de trace pour devoir respirer,

Il n’y a plus de trace pour hurler.

Plus de place pour enfin se connaître,

Il n’y a plus de place pour renaître,

Plus de trace pour une fois apparaître,

Il n’y a plus de trace pour tout être.

21 janvier 2012

J'ai longtemps marché sur les bords de mon âme,

J'ai longtemps marché sur les bords de mon âme,
Il a fallu que je ferme les yeux pour voir,
L'inanité qui habitait mon corps en flamme,
Si puissante que mes larmes ne laissaient rien prévoir.

J'ai longtemps dansé sur les rives de mon corps,
Au mieux je suffoquais pour garder l'espoir,
N'pas perdre le rythme des oscillations en or,
D'une image que mes sens ne voulaient plus croire.

J'ai longtemps hurler sur les estrades d'une vie,
Ma voix s'est brisé sans que quiconque n'entende,
Alors aujourd'hui mes cris se sont taris,
Même cette joie, la catin, ne montre plus ses versants.

J'ai longtemps pleurer sur toutes les traces d'un cœur,
Le créneau est passé juste au dessus d'un ange,
La mort si douce à glissée ses yeux ailleurs,
Alors l'eau salé continu sa course étrange.

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